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BORDERLINE   //   Une ambassade des exilés // Assurer une hospitalité inviolable en ville //   2018  //  Nantes

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La Loire

territoire des arrivées

et des départs

Le CAP 44,

un bâtiment signal

en ville

Une ambassade 

des exilés

      Ce projet reprend la réflexion amorcée dans le cadre du mémoire de master sur la capacité de résilience des habitants face à un traumatisme et sur le rapport que ces populations entretiennent avec les autorités dans des moments de grande fragilité. Je me suis ainsi intéressée à ces négligences qui mettent en exergue la fragilité de ces populations déjà précaires. 

 

    Le constat développé ici est celui que les autorités publiques ne permettent pas, face au traumatisme que vivent les migrants (on parle ici d’une migration forcée, économique, sanitaire, climatique, de guerre...), de répondre à un besoin vital et qu’au contraire, ils participent à l’aggravation de la précarité et de la fragilité. La posture que j’ai adopté dans ce mémoire, n’était pas celle d’un détracteur, l’objectif était plutôt d’encourager une reconnaissance d’un savoir-faire, d’une richesse constructive, d’une manière de faire ville ensemble, et évidemment la reconnaissance d’une place dans la ville pour ces personnes, une inclusion légitime dans leur capacité à organiser cette ville par eux-mêmes.

 

       Dans le cadre de la réflexion menée et du travail qui va suivre, je me suis intéressée à trois thématiques : celle de l’expulsion systématique, celle de la revendication d’un droit à la ville, et celle de l’économie populaire.

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